Faut il couper les jambes ?
FAUT-IL ENCORE COUPER DES JAMBES ?
TROUBLES CIRCULATOIRES ARTERITE, ARTERIOPATHIE, PHLEBITE DEGENERATIVE,ULCERE VARIQUEUX, etc.
Faut-il les traiter par médicaments et chirurgie ? Dans quelle mesure ? A quel prix ?
PERSPECTIVES D’ AVENIR RECONFORTANTES
I – DES FAITS
En 1955, M. Leroy, policier belge demeurant à Hampteau, âgé de 55 ans, avait été amputéd’une jambe pour artériopathie traitée médicalement (et vainement).
Quelques années plus tard, récidive de l’artérite à l’autre jambe.
Conclusion médicale : couper cette deuxième jambe.
Une de ses relations, un cordonnier lillois, qui devait, lui aussi, être amputé d’une ou deux jambes pour artériopathie mais s’en était rétabli sans opération, par l’Hygiène vitale, lui suggère d’appliquer ces soins naturels et de rencontrer l’hygiéniste lillois qui lui a, par ses conseils, permis de se rétablir et … de garder sa jambe.
M. Leroy s’est donc soigné pendant 1 an selon l’Hygiène vitale et … a sauvé sa deuxième jambe. Il en est si heureux et enthousiaste qu’il décide de consacrer son temps à la diffusionde cette information lorsqu’il apprend qu’un cas d’artériopathie va être livré à l’ablation du ou des deux membres inférieurs « en cause ».
Etant donné qu’il ne trouve alors qu’en France des magasins d’alimentation saine, il propose à une personne de sa région de s’occuper de la commercialisation d’aliments sains.
C’est à Charleroi qu’une femme enthousiaste ouvre le premier magasin diététique belge.
D’autres magasins d’alimentation saine s’ouvriront bientôt, pour atteindre un chiffre deplus en plus imposant, avec des dizaines de milliers de clients.
Et M. Leroy poursuit sa « mission » d’information. Il se déplace sans arrêt, conseillant l’alimentation de santé et les facteurs naturels qui l’ont sauvé – et qui en sauvent bien d’autres de tout âge. Des élèves d’André Passebecq interviennent aussi proposant une variété de méthodes qui visent toutes au rétablissement de l’harmonie vitale.
II – EXTENSION DE L’ACTION
André Passebecq a pu organiser plusieurs séries de stages d’information etd’enseignement. Il a agi dans ce sens en Europe, au Canada, au Maroc, au Portugal,…
Pendant plus de 10 ans, André Passebecq a été chargé de cours de Naturothérapie à la Faculté de Médecine Paris-XIII. Pour la première fois dans le monde, cet enseignement a été suivi par des médecins, des vétérinaires, des chirurgiens-dentistes, des pharmaciens, des docteurs ès-sciences, puis des infirmières, etc.
Le mérite en revient surtout à un éminent et courageux professeur de médecine, fondateur et directeur de cette Faculté, M. Pierre Cornillot.
NOTA. – D’autres cas de rétablissement dans des situations dites « désespérées » ont été décrits dans la revue VIE et ACTION, certaines avec les photographies de l’évolutionjusqu’au rétablissement de la santé.
III – PERSPECTIVES
L’avenir des méthodes naturelles de santé est ouvert. Les conséquences vont même, sans doute, se révéler salvatrices. En effet, la situation sanitaire de la plupart des pays est préoccupante.
Une éthique de la vie, fondée sur des évidences biologiques, se développe. Par exemple, le rôle de la fièvre et des symptômes de troubles dans la conduite des traitements naturels et des soins devient capital. La base de la nouvelle « médecine naturelle » redevient hippocratique, mais guidée par le fruit de recherches internationales intensives.
Les jambes, dans leur majorité, peuvent être sauvées par l’Hygiène vitale. La prévention et le traitement des troubles de santé seront moins agressifs, moins axés sur la destruction des microbes et moins dommageables pour les défenses naturelles.
IV – CONCLUSIONS
Ne plus subir mais comprendre, étudier, favoriser le jeu des forces vitales, diffuser, enseigner et pratiquer les méthodes naturelles de santé physique et psychologique.