La pandémie mondiale de Coronavirus

 À cela s’ajoute le temps passé par les médecins à remplir des formulaires sans oublier toutes les administrations (sécurité sociale, mutuelles…etc.) chargées de comptabiliser chaque dépense. On peut donc comprendre la soudaine faillite des initiatives tant individuelles que nationales incapables d’une part de répondre à une situation exceptionnelle telle que la pandémie du Covid 19 avec en prime un coût de fonctionnement astronomique.
En fait, toute cette machinerie dantesque ne dépense son énergie que pour sa survie. Il ne peut y avoir dans ce cadre rigide de réelles prises en compte d’initiatives individuelles visant à améliorer le cadre de santé. Nous sommes loin, très loin d’une médecine qui enseignerait et diffuserait l’apprentissage des principes de vie chers à la naturopathie, à l’enseignement du Dr André Passebecq ou d’autres courants de la médecine. Cela ne peut avoir lieu car les citoyens échapperaient au contrôle social mis en place par toute une batterie de contraintes construites autour des hospitalisations, des ordonnances, des remboursements…etc., qui chaque jour un peu plus rendent le citoyen dépendant de la structure.

Sur une ville comme Paris, on peut compter pas moins de 50 000 personnes qui travaillent pour la santé et qui n’ont jamais vu un seul malade. Cette toile d’araignée de la médecine étatique, dépense toute son énergie à se maintenir au pouvoir en demandant de plus en plus de subsides au contribuable.
Au niveau international, ce n’est guère mieux. Que ce soient les instances européennes chargées de la santé des individus où l’OMS, on retrouve toujours de gigantesques castes d’aparatchiks grassement payés dont le rôle réel n’a pas été clairement établi durant cette crise à part quelques annonces fracassantes qui relevaient davantage du bon sens plus que de l’étude approfondie. Or, le désastre ne s’arrête pas là. À cause de leur arbitrage durant cette crise, les mesures prises ont souvent frisé l’absurde. Le traitement des données est devenu incompréhensible. Qui donc n’a pu assister à ce spectacle quelquefois pitoyable d’érudits qui « au nom de la science » se contredisaient du jour au lendemain. Tout a été dit et son contraire. Comme une partie de carte où les règles changent au cours du jeu, où il est permis de tricher, où des cartes sont subtilisées et d’autres apparaissent en double… avec un arbitre, journaliste de surcroît qui interroge un délégué du pouvoir médical, diplômé de la fac de médecine, seul habilité - confinement oblige - à rejoindre les plateaux télé, toujours les mêmes… « vous qui êtes un spécialiste, dites-nous… », bref, un spectacle surréaliste.

C’est l’image réelle, révélée, de la médecine officielle avec son cortège infernal de peurs, de dogmes, de gardiens tutélaires des rites de passage des pouvoirs, dont la finalité planétaire n’est que le maintien d’appareils bureaucratiques où se côtoient patrons d’officines, académiciens, et surtout comités éthiques et scientifiques qui n’ont eu de cesse de bloquer les initiatives de pouvoirs concurrents tant au niveau de l’état ( vétérinaires, armée…etc.), qu’au niveau d’autres conceptions médicales. L’armée et les vétérinaires disposaient de moyens considérables mais concurrents. Ils auraient, semble-t-il permis de fabriquer des tests en quantité suffisante. Au lieu de cela, des homologations qui n’ont volontairement jamais été données. Non, ce n’était pas encore une fois le complot exclusif des laboratoires pharmaceutiques, mais simplement le « Game of Thrones » des différentes féodalités tenant dans une main d’acier la vie des citoyens.

Pendant ce temps, heureusement pour le salut du citoyen, la réalité nous révélait toute un myriade de médecins généralistes et urgentistes, de techniciens de la réanimation, anesthésistes, pneumologues, infirmiers et personnels hospitaliers combattant courageusement le virus sur le front et payant un lourd tribut loin des débats.

Tout a commencé par d’éminents virologues qui nous ont expliqué qu’il n’y avait rien à voir, sous-entendu que le Covid 19 n’était qu’un virus parmi tant d’autre et que tout au plus on pouvait avoir une « grippette ». le professeur François Bricaire de l’Académie de Médecine se voulait ainsi rassurant devant un parterre de journalistes.

Début mars 2020 les masques ne servent à rien. La porte-parole du gouvernement nous explique qu’en plus on ne sait pas les mettre !

Les tests sont inutiles et le lavage des mains au savon inefficaces. Les personnes souffrant des premiers symptômes graves sont ainsi renvoyées dans leurs foyer contaminant ainsi toute leur famille !

Pendant ce temps les tests disponibles ne seront réservés qu’aux hauts dignitaires politiques. Tous les membres et personnels de l’assemblée nationale seront testés et pourront ainsi bénéficier d’une thérapeutique préventive. C’est la « science » qui l’affirme ! Les Français valent mieux que cela…

Pendant ce temps la courbe du nombre de décès annoncée en Italie suit une progression géométrique, mais personne ne la remarque. Nous sommes début mars 2020. La « science » ne sait visiblement pas interpréter une progression géométrique surtout à quelques jours du premier tour des élections municipales !  A ce stade les Français sont disciplinés, respectueux des distances et intelligents. Ils ne le seront plus au lendemain des élections lorsque le confinement sera ordonné. Les masques de protections sont interdits pour les gendarmes et obligatoires pour le personnel de santé ! De plus la pénurie de masques obligera la « science » à vous expliquer qu’ils ne servent à rien pour les citoyens – puis - la « science » reviendra vous expliquer le lendemain qu’ils sont indispensables car un début de stock vient d’être constitué. On passera en quelques heures de l’inconscience sanitaire à l’obsession du risque zéro. Tous les soirs on assiste à une messe où un délégué de la santé vous indique le nombre de décès – mais attention – ces décès ne comptabilisent pas dans un premier temps les personnes âgées des maisons de retraite, ni les personnes décédées qui n’ont pas été testées à temps. Le nombre de personnes testées reste un mystère. Aucune info sur le sujet : normal, il y a une pénurie de test. Seuls apparaît le chiffre des personnes révélées positives, ou peut-être qui ont eu des premiers symptômes, ou peut-être encore qui se sont présentées aux urgences. Mystère pour un pays qui compte pourtant des milliers « d’observateurs » payés par le ministère de la santé ! Donc une donnée qui ne veut rien dire car on ne connaît pas au départ le nombre de personnes testées. Seules quelques nations informent sur le nombre réel de personnes testées.

L’Allemagne prend le parti d’ignorer complètement les personnes décédées en maisons de retraites. L’Italie interdit le port du masque dans certaines maisons de retraites pour ne pas effrayer les pensionnaires… De toute façon, ils sont morts avant d’être testés ! La « science » continue d’édicter des tendances au vu de chiffres dont on sait qu’ils sont faux car ils ne tiennent pas compte de la réalité. Mais gare à qui se hasarderait à commenter les chiffres, car la « science » est la seule à avoir le droit d’avoir une opinion sur l’évolution de la pandémie car sitôt un quidam se hasarderait à faire un commentaire, on lui rétorquerait immédiatement que les tests ne sont pas fiables et le nombre de morts ne veut rien dire car ce sont des « vieux » qui de toutes façons devaient mourir !

Comble du ridicule, la Haute-Corse est présentée à une date donnée comme une région à risque avec un seul décès pour seulement quelques personnes testées. Explication : il n’y a pas de tests en Corse ! Donc une mortalité de 20 à 40%. Quelques semaines plus tard la Haute-Corse est classée au même rang que Paris avec « seulement » 6 décès et 2 cas en réanimation ! Le classement s’est fait à partir du comptage du nombre d’appels téléphoniques, tous confondus, passés dans les services d’urgence. On croit rêver devant tant d’incompétence venant des bureaucrates de la santé. Le ridicule prend un envol décisif lorsque le journal Libération annonce qu’il n’y a en fait que 89 morts par an de la grippe. En effet ces chiffres ne tiennent compte que des personnes mortes dans des conditions particulières de réanimation. D’autres annoncent le chiffre de 10000 par an. D’autant plus que personne n’explique qu’à 97 ans il faut bien mourir de quelque chose et qu’une personne décédée à 97 ans d’une affection virale n’a pas le même sens qu’un enfant de 11 ans qui décède de la même affection virale mais la « science » fait si bien les chose qu’elle mélange volontairement les données pour justifier des campagnes de vaccinations. Les chiffres de l’Insee révèlent qu’en fait le nombre de mort au 30 mars (tous décès confondus) est le même que les deux années précédentes – donc – la présence d’un nouveau virus n’aurait aucune incidence ? On n’y comprend plus rien… Ou plutôt on comprend enfin que les chiffres de la médecine n’existeraient que pour valider les pratiques qui ont été décidées en haut lieu…


Puis vient l’avalanche d’annonces savantes. Les virologues qui parlent d’une seconde vague contre ceux qui disent que c’est de la science-fiction. Le prix Nobel de médecine qui indique que le virus possède des points communs avec celui du VIH contre les infectiologues qui disent que cela n’a rien à voir. Les épidémiologistes qui parlent d’immunité acquise contre ceux qui disent qu’elle est impossible. Les microbiologistes qui parlent de saisonnalité contre ceux qui n’y croient pas. Bref, chacun dit la sienne, chacun vient apposer sa petite estampille savante au mépris de toute autre donnée. Chacun parie sur les découvertes à venir comme on joue à la roulette. Les certitudes « scientifiques » sont à tel point diamétralement opposées qu’on a l’impression qu’aucun savoir ne les sous-tend – pire – le quidam disant n’importe quoi ferait le même effet.

 Je me souviens d’une amie pédiatre qui a officié longtemps à l’hôpital Lenval à Nice qui me précisait qu’on ne pouvait strictement rien dire sur les virus que l’on ne connaissait pas… 


Pendant ce temps le confinement oblige le simple citoyen à se murer dans des appartements exigus avec sa famille. Aucune réflexion sur l’état de stress dans lequel vont être confrontées des personnes emmurées vivantes avec pour seule fenêtre sur la vie que les caméras des médias braquées en continu sur les services de réanimation. Des personnes vont jusqu’à se suicider en apprenant qu’elles sont positives au test du Covid 19.

Aucun débat sur la gestion de la peur et l’effet nocébo des annonces quotidiennes du nombre de mort - en rappelant à tout instant le chemin de croix inéluctable qui devra être suivi par les personnes d’un certain âge... Aucun naturopathe invité, aucun psychosociologue invité sur les chaînes françaises. Normal, ils n’ont peut-être pas l’autorisation de circuler et ne sont pas habilités à donner leur avis. Ils doivent être confinés car ne sont pas médecins… Donc sur les plateaux télés que des journalistes et des profs de médecines dans un premier temps. Aucune voix discordante qui pourrait expliquer que la peur de la maladie est pire que la maladie, que le système immunitaire est le meilleur allié en pareil crise, aucun élément d’hygiène de vie sur l’alimentation à adopter lors de pandémies. Rien.

Aucune allusion non plus précisant que la fièvre est le pire ennemi des virus.

Non, seuls les professeurs de virologie ont droit à la parole. Le pire est qu’ils ne connaissent rien à ce virus. Forcément il est nouveau ! Ils se contenteront donc pour les plus prudents de débiter les mêmes généralités que n’importe quel étudiant en première année de médecine pourrait dire. Parler du rôle de la fièvre ou comment renforcer le système immunitaire ne les intéresse pasOn verra même des médecins réanimateurs parler de virologie devant les caméras en ignorant tout de ce virus. Normal, c’est le statut qui donne le droit à la parole et non les savoir ! C’est le paradoxe de la médecine officielle. Tout virologue soucieux de prendre part à cette messe médiatique se doit de faire des annonces chocs. De la bouche de ces « éminents scientifiques », on aura tout entendu sur ce virus… et son contraire !

Le spectacle a tourné au tragique avec ce refus français d’interdire de soigner par l’hydroxychloroquine HC les personnes atteintes.
Arrêtons-nous un instant sur cet épisode riche en enseignements pour permettre de comprendre la dynamique implacable qui régit aujourd’hui la médecine d’état. Les autorités sanitaires françaises sont allées jusqu’à interdire la possibilité pour les médecins de ville de la prescrire. En effet, les politiques au pouvoir sont menacés dans un premier temps d’être critiqués publiquement par des professeurs de médecine, membres de l’académie de médecine, conseils supérieurs et hauts responsables de la santé, s’ils ne répondent pas à l’ordre donné de saboter l’utilisation thérapeutique de la HC. Car ces professeurs qui essaiment les plateaux télés, loin du front des urgentistes, espèrent secrètement à l’issue de cette crise sanitaire mettre la main sur des budgets colossaux.


Dans ce contexte, il est évident que la H-chloroquine, non seulement ne les intéressent pas. Non que la HC ait prouvé son efficacité mais qu’en dehors de toute autre alternative, un espoir soit permis pour tous ceux et toutes celles qui ne font pas confiance à leur système immunitaire. Et puis, quid de la liberté de prescrire pour les médecins de ville ?


La chloroquine (Plaquenil, Nivaquine…), dérivé de la quinine qui est un produit extrait d’une plante (le quinquina) est un remède vieux comme le monde contre les attaques virales. Une boite de Nivaquine ne coûte que deux euros. Elle est massivement utilisée pour se protéger du paludisme. Ses effets secondaires n'ont jamais posé problème aux voyageurs. À forte dose, elle représente un risque cardiaque pour les personnes fragiles. Le professeur Raoult, de stature internationale, l’expérimente dans son service auprès de personnes atteintes du Covid-19. Au bout de quelques semaines, il en est déjà à 3000 essais. C’est sûr, en tant que promoteur de l’HC il devient à la fois juge et parti… Rappelons qu’il n’y a aucune autre alternative à ce coronavirus à part quelques autres anti-viraux (Liponavir-Rotonavir) ou autres préparations qui arrivent sur le tard, et que les morts s’additionnent de façon vertigineuse à chaque heure qui passe.


Alors pourquoi cette résistance ?. Un vieux médicament ne les intéresse pas, d’autant plus qu’un concurrent (le Dr Raoult) s’en est déjà fait la spécialité. Or, avec cette crise sanitaire, ils se voient déjà à la tête de missions, de laboratoires, d’instituts aux budgets décuplés, dirigeant des hordes de chercheurs, essayant d’encadrer la recherche de nouveaux vaccins qui mettront des années à voir le jour.


Les politiques au pouvoir, eux, ont les pieds et mains liés. Ils ont peur des procédures à venir avec le souvenir amer du « sang contaminé ». Ils sont à la botte des barons de la médecine qui les menacent de critiquer leur inorganisation (pénurie de masques et de tests…etc.) s’ils encouragent la consommation de la HC.


Alors comment ces grands pontes s’y prennent-ils ?
1) Introduire dans le débat des termes tels que : « remède miracle », « charlatan » pour disqualifier tous ceux qui prescrivent la HC. On retrouve ici les mêmes recettes pour exclure ceux qui ne pensent pas comme eux.
2) Autoriser la prise de HC uniquement en milieu hospitalier - donc - quand l’état du malade est grave – donc quand l’usage de la HC n’aura plus aucun effet. En effet le Pr Eric Chabrière l’a très bien expliqué : la HC doit être administrée au début des symptômes sinon elle est inefficace ! L’ancien ministre de la santé et médecin le Dr Douste-Blazy l’a rappelé : « Lorsque les malades ont les voies respiratoires atteintes, c’est trop tard ». Conclusion : en obligeant ainsi à ne prendre la HC que lorsque ce sera trop tard on aura ainsi la preuve irréfutable de son inefficacité ! Bien joué.
3) Rallonger les essais thérapeutiques. Gagner du temps pour bloquer son utilisation. Cette mesure est particulièrement scandaleuse car cela implique des expérimentions en double aveugle  avec placebo). Cela sous-tend que dans une situation d’urgence sanitaire dans laquelle il n’y a aucune autre alternative, certains chercheurs vont encore s’amuser, par déontologie scientifique, à faire croire à des patients au bord de la mort, qu’il leur ont donné une substance alors qu’il n’en est rien.

4) Comparer la HC au Mediator en la qualifiant de « faux espoir » afin de justifier le refus de l’utiliser. Or, la HC, dérivé de la quinine, est utilisée depuis l’antiquité contre les infections virales alors que le Médiator n’est qu’un amphétaminique de confort.
5) Insister sur les effets secondaires en surdosage. C’est oublier que toutes les préparations ont des effets secondaires. C’est le propre d’un médicament d’avoir des effets secondaires car sinon cela signifierait qu’il est inactif. C’est l’argument le plus creux. L’argument qui infantilise le patient dont on s’imagine tel un mauvais gamin qu’il va vider la boite en une seule prise comme un enfant viderait un pot de confiture. Imaginez le marchand de vin qui conseille de ne pas boire de l’eau pour étancher sa soif car il peut y avoir risque de noyade si l’eau est présente en trop grande quantité. Ces mêmes médecins vont vous parler d’un cas où la personne est décédée suite à une prise trop importante de chloroquine – sauf – qu’entre temps il y a eu des dizaines de milliers de morts sans aucun traitement…
6) Pousser des médecins qui sont sur le front de l’urgence sanitaire à défendre la cause des grands pontes.

En final, les journalistes de BFM concluront sur le thème de l’hydroxychloroquine en citant une étude américaine prouvant que l’HC n’a aucun effet. En réalité, ils n’ont même pas lu cette étude. Normal, elle est écrite en anglais en terminologie scientifique. Seuls les professeurs sont habilités à la comprendre… Encore une fois, le spectateur est traité comme un idiot. Je me suis procuré cette expérimentation menée par la Yale University de New York par les professeurs Magagnoli et collaborateurs. En fait cette expérimentation, encore une fois, ignore le protocole imposé par le Dr Raoult. Ce n’est en fait même pas une expérimentation : pas de randomisation des patients. L’échantillon ne concerne qu’une catégorie de population… etc. Bref, juste un compte rendu ponctuel que les universités sont capables d’en produire lorsqu’elles veulent accréditer ou discréditer un principe médical. Il fallait s’y attendre…

Une seconde recherche américaine parue début mai par Geleris et Coll donne des résultats décevants sur l’utilisation de l’HC mais – comme toujours – sur des patients arrivés trop tard aux urgences avec un échantillon non représentatif de personnes testées positives. Là aussi, aucun grand ponte de la médecine ne viendra préciser que toutes ces expérimentations n’ont pas respecté les consignes du Dr Raoult… Au terme de cette cavalcade pharmaceutique, nous ne connaîtrons pas l’effet réel de la HC. Étrange. Cela serait-il révélateur du mode de fonctionnement des administrations chargées de donner les autorisations de mise sur le marché des médicaments ?

La médecine officielle aura révélé son vrai visage

En conclusion, quel sera l’enseignement que l’on peut tirer de cette crise ?
D’abord l’idée que la médecine n’est pas une science mais simplement une technique. Ce qui est vrai aujourd’hui peut être complètement faux dans quelques années. L’esprit scientifique sous-tend une maîtrise parfaite des variables lors d’une expérimentation – sinon – la prudence lorsque ces conditions ne sont pas remplies. Le pouvoir médical officiel, lui, avance à grand pas de certitudes en réduisant à néant toute voix discordante. Quant à vouloir donner des explications savantes sur le mécanisme du vivant, on peut avoir accompli dix années d’études et quarante années d’expérience et passer à côté du problème simplement parce qu’on s’est trompé d’ennemi.

Claude Bernard (1813-1878), écrivait : « Le microbe n’est rien, c’est le terrain qui est tout » lui qui avait un regard souvent critique sur ses contemporains.

« C'est ce que nous pensons déjà connaître qui nous empêche souvent d'apprendre ». Antoine Béchamp (1816-1908) opposé à Pasteur (1822-1895) : « Le ‘Microbisme’ est une doctrine fataliste monstrueuse qui suppose qu'à l'origine des choses, Dieu aurait créé les germes des microbes destinés à nous rendre malades.»


Aujourd’hui il n’est plus question d’opposer Pasteur et Béchamp. Un vaccin pourra  effectivement voir le jour. Nous débattrons de sa réelle utilité… À suivre.  

Raoul Robecchi.